Au cours des dernières années, notamment en raison d’avancées technologiques importantes, l’engouement pour les neurosciences éducationnelles s’est considérablement accru. Cet enthousiasme grandissant est-il justifié ? Dans une certaine mesure, répondent les chercheurs de l’UQAM Line Laplante et Julien Mercier. Car, bien qu’elle puisse être utile pour éclairer notre compréhension des troubles d’apprentissages et mieux guider les interventions qui les concernent, cette jeune discipline est encore loin d’être une panacée.